Max le Verrier

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DECONAMIC est le revendeur exclusive officiel des lampes, sculptures et objets Art Deco de Max Le Verrier pour le Benelux.
Tous les articles sont fondus par l’arrière-petit-fils de Max Le Verrier à l’aide des moules d’origine. Un certificat d’authenticité est fourni avec chaque article.

Vous trouverez sur cette page un aperçu des lampes et sculptures disponibles.
Les best-sellers sont les lampes Art Déco comme Clarté différentes tailles, la lampe Espana, les animaux comme les panthères Baghera et Ouganda, les serre-livres Delassement etc.
Tous les autres modèles peuvent être commandés.
Veuillez nous contacter pour plus d’informations.

HISTOIRE
Max Le Verrier, 1891 – 1973

Louis Octave Maxime Le Verrier est né à Neuilly sur Seine d’une mère belge et d’un père parisien, orfèvre joaillier. Il sert dans l’armée française pendant la Première Guerre mondiale avant d’étudier à l’École des Beaux-Arts de Genève où il rencontre les artistes et condisciples Pierre Le Faguays et Marcel Bouraine ; les trois artistes sont devenus des amis pour la vie. En 1919, Max Le Verrier ouvre sa propre fonderie, produisant des sculptures et des objets décoratifs, des lampes, des serre-livres et des mascottes de voitures.

Attiré par son amour des animaux vers les zoos et les cirques, il sculpte sa première sculpture, le célèbre pélican dans un style typique des années 1925. Il a signé l’œuvre de son pseudonyme Artus. Au cours de cette période, Max Le Verrier a créé de nombreux modèles d’animaux, par exemple des panthères comme Baghera, Ouganda et Jungle, un lion impressionnant, des cigognes, des écureuils et des chevaux dont la plupart executé en métal d’art de préférence au bronze.

C’est devant les cages du Jardin des Plantes que Max le Verrier a créé son oeuvre singe au parapluie, un chimpanzé de trois ans qui répondait au joli nom de Boubou. Une grande amitié est née entre le singe et l’artiste.
Boubou retenu par le gardien du zoo à l’extérieur de la cage, a accepté de prendre la pose en échange de bananes. D’ailleurs, chaque matin, il regardait du côté de l’entrée pour attendre celui qui allait l’immortaliser.
La sculpture Pluie a reçu une médaille au Salon des Humoristes en 1927.

L’atelier le Verrier a travaillé pour les sculpteurs suivants:
Pierre Le Faguays, pseudonyme Fayral, Marcel Bouraine, pseudonyme Derenne & Briand, Raymonde Guerbe, Jules Masson, Charles, Janle, Denis, De Marco et Garcia. Ces pièces étaient vendues dans l’atelier du 100 rue du Théâtre à Paris.

Max Le Verrier était Membre Titulaire de la Société des Artistes Décorateurs et y exposait régulièrement. Il avait un stand à l’ Exposition des Arts Décoratifs et Industriels de Paris de 1925 au Grand Palais, où son stand a reçu une médaille d’or. Son stand à l’Exposition internationale de Paris de 1937 est récompensé d’une médaille d’honneur.

En 1928, Max Le Verrier sculpte d’après modèle vivant, sa célèbre lampe Clarté qui représente une femme nue sur la pointe des pieds, un globe lumineux dans les mains tendues, pièce maîtresse de sa collection. 
En fait, il avait besoin de 3 modèles différentes : une pour la tête, une autre pour la poitrine et une pour les jambes. Pour cette dernière partie, il demande à une danseuse des ballets de Joséphine Baker de poser.
Ce modèle existe en 4 tailles, Lueur Lumineuse, Lumina, Clarté, Clarté grandeur nature.
La majorité des figurines de Le Verrier sont des jeunes filles avec un athlétisme idéalisé similaire.

La lampe Clarté a été présentée dans l’exposition Lumières au Centre Georges Pompidou de mai à août 1985 mais aussi en 1987 dans l’exposition Made in France chez Harrod’s à Londres et dans l’exposition De main de maître au Grand Palais à Paris. Il a également été exposé à l’hôtel Martinez à Cannes en 2000.

Max Le Verrier a travaillé tout au long des années 1930. Il a été arrêté en 1944 pour son travail dans la Résistance française, mais après la guerre, il a continué à sculpter jusqu’à sa mort en 1973.